Présentation du livre ‘’Une métamorphose certaine’’ de Tchinguiz Abdoullaïev. 20 mai 2019 – Publié dans Littérosa
C’est à l’Hôtel Ciarus que l’auteur incontournable de la littérature russophone, ses 201 livres publiés et 30 millions d’exemplaires vendus à travers le monde, fut reçu par le public strasbourgeois (composé d’autant de connaisseurs que de curieux).
Strasbourg accueillit l’auteur mondialement connu Tchinguiz Abdoullaïev le samedi 18 mai dernier, à l’occasion de la soirée de présentation de son ouvrage « Une métamorphose certaine », traduit en français et publié par les Éditions Kapaz.

L’auteur étant né à Bakou, c’est tout naturellement que l’ambassadeur de la République d’Azerbaïdjan auprès du Conseil de l’Europe, Monsieur Fakhraddin Ismayilov, prononça le discours d’ouverture en l’honneur du travail effectué par les Éditions Kapaz. Il remercia donc les fondateurs des Éditions, Monsieur Nijat Kazimov, Monsieur Dilbadi Gasimov et Monsieur Jean-Emmanuel Medina, ainsi que tout le reste de l’équipe, pour la publication de l’ouvrage de l’auteur azerbaïdjanais.

Il eut également l’occasion d’évoquer certains aspects de la vie de M. Abdoullaïev devant son auditoire, en particulier son engagement auprès de causes qui lui sont chères, comme le soutien aux réfugiés en difficulté.

Après cela, les Éditions Kapaz purent donc, dans ce cadre, poser des questions à l’auteur au travers de son modérateur, l’avocat et enseignant Maître Thierry Edmond.
Après avoir retracé les points cardinaux de la vie de l’invité, Thierry Edmond s’est ainsi tant intéressé à des anecdotes de vie et de parcours de l’homme (son parcours universitaire puis professionnel édifiant) qu’à la vie de l’écrivain, sa nécessité d’écrire, et son rythme de vie soutenu qui lui permet d’arborer une si grande quantité de livres publiés.

On y apprit notamment que l’écrivain ne dort en moyenne que 4 heures par nuit (du fait de ses multiples casquettes, de dirigeant d’un club de football azerbaïdjanais à auteur), qu’il croit en un combat continue entre le bien et le mal, et que c’est sa volonté d’apporter quelques pierres à l’édifice que constitue l’humanité qui participe à sa passion de l’écriture.

Après un temps de dédicaces et de photos que Tchinguiz Abdoullaïev prit avec les strasbourgeois venus le rencontrer, parfois déjà de fidèles lecteurs enchantés de cette rencontre, une collation fut proposée pour accompagner un concert du groupe 7/8 Balkan Trio.



Valentin DA FONSECA