Le fils de la tante Meryem 3 février 2024 – Publié dans Littérosa
En 1991, nous nous étions engagés au front comme volontaires. Tous les garçons de notre groupe. À l’époque, chacun de nous était en dernière année de ses études universitaires. J’étais l’un des trois survivants. Je rentrais en automne 1996. Un copain avait marché sur une mine un peu plus loin de moi. Son corps avait été déchiqueté. Moi, j’avais été touché à la jambe et au bras gauches. Puis j’avais quitté l’hôpital après y avoir reçu un long traitement.
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